Par Céline
Nous sommes en 1939 au cœur du yiddish land Polonais et l’heure des dernières illusions semblent avoir sonné. Hitler fait de plus en plus d’adeptes chez les Polonais et les Juifs savent qu’ils doivent fuir pour échapper au gourou de leurs compatriotes. Pourtant tous veulent croire encore en la nature humaine, hésite à quitter cette patrie qui ne sera plus ni en Amérique ni en Palestine, craignent de voir leur monde vaciller sous la modernité.
Arele (le double de l’auteur qui a du mal à se cacher derrière son héros) fait comme tout le monde il se force à vivre comme si des lendemains chantants allaient revenir. Croyant que le succès à son importance auprès de son entourage, épousant son amour d’enfance tout en connaissant ses limites, vivant dans la dichotomie que lui impose sa religion si peu adaptée au monde moderne dans lequel il se précipite. Il s’entoure de gens comme lui à la fois hésitant et profondément empreint de leur identité religieuse et mystique.
La crainte de voir cet Univers anéantie par la folie de Hitler habite chaque personnage, mais il y a une sorte de fatalisme handicapant qui semble les réduire a l’inaction qui les conduira droit dans le gouffre de leur bourreau, l’amour d’un pays qu’ils ne verront plus et qu’ils devront recréer ailleurs le charme en moins.
Un personnage fort qui ne cesse de réfléchir, qui se laisse conduire par ses émotions, allant jusqu'à épouser un amour de jeunesse qui n’a jamais complètement grandi alors que la richesse l’attend auprès d’une actrice américaine.
Il y a de la mélancolie dans le ton et cette sagesse d’une époque qui n’a plus sa place dans la modernité, tout l’univers qui fît le succès de Singer est dans ce personnage légendaire.
Nous sommes en 1939 au cœur du yiddish land Polonais et l’heure des dernières illusions semblent avoir sonné. Hitler fait de plus en plus d’adeptes chez les Polonais et les Juifs savent qu’ils doivent fuir pour échapper au gourou de leurs compatriotes. Pourtant tous veulent croire encore en la nature humaine, hésite à quitter cette patrie qui ne sera plus ni en Amérique ni en Palestine, craignent de voir leur monde vaciller sous la modernité.
Arele (le double de l’auteur qui a du mal à se cacher derrière son héros) fait comme tout le monde il se force à vivre comme si des lendemains chantants allaient revenir. Croyant que le succès à son importance auprès de son entourage, épousant son amour d’enfance tout en connaissant ses limites, vivant dans la dichotomie que lui impose sa religion si peu adaptée au monde moderne dans lequel il se précipite. Il s’entoure de gens comme lui à la fois hésitant et profondément empreint de leur identité religieuse et mystique.
La crainte de voir cet Univers anéantie par la folie de Hitler habite chaque personnage, mais il y a une sorte de fatalisme handicapant qui semble les réduire a l’inaction qui les conduira droit dans le gouffre de leur bourreau, l’amour d’un pays qu’ils ne verront plus et qu’ils devront recréer ailleurs le charme en moins.
Un personnage fort qui ne cesse de réfléchir, qui se laisse conduire par ses émotions, allant jusqu'à épouser un amour de jeunesse qui n’a jamais complètement grandi alors que la richesse l’attend auprès d’une actrice américaine.
Il y a de la mélancolie dans le ton et cette sagesse d’une époque qui n’a plus sa place dans la modernité, tout l’univers qui fît le succès de Singer est dans ce personnage légendaire.
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