Peut-on survivre et rester humain ?, par Sandrine
Il m’est très difficile de faire une critique de ce livre car je ne veux vraiment pas déflorer cette magnifique histoire, qui m’a prise aux tripes, qui m’a passionné, que j’ai lu quasiment d’une traite, et que j’ai envie de recommander à tout le monde. Ce que je ne ferais pas, cette histoire pouvant être dure, cruelle, angoissante, même perturbante pour certains mais elle l’est pour la vérité de ce qui pourrait se passer. Et si…
Et si, demain, une terrible catastrophe arrivait, si les arbres, le bétail et une grande partie de la population mourraient, que se passerait-il dans les têtes des survivants ? Quelle morale peut-on garder après cela quand la seule qui compte encore c’est de survivre jusqu’au lendemain ?
Nous suivons donc un homme et son fils (leurs noms ne seront jamais dévoilés), l’homme lutte pour la survie de son fils qui passe par sa propre survie, son fils l’oblige à voir comment sa propre nature s’est changée, il n’y a plus de bonté, d’entraide en lui. Il en a trop vu, trop vécu. Mais le gamin reste bon et naïf et leur opposition n’est qu’en filigrane mais présente tout au long du livre.
Nous ne saurons pas grand-chose, quelques souvenirs chez l’homme pour nous indiquer « l’avant », mais cela suffit, il en faut peut pour comprendre (rien qu’allumer la télévision à l’heure des infos peut aider…)
L’homme et l’enfant marchent sur la route, ne dévient que rarement, avec pour seuls « compagnons » un caddy et un pistolet qui contient 2 cartouches…
Superbe histoire, dépouillée, efficace et avec une petite touche d’espoir malgré tout. Coup de cœur !
Il m’est très difficile de faire une critique de ce livre car je ne veux vraiment pas déflorer cette magnifique histoire, qui m’a prise aux tripes, qui m’a passionné, que j’ai lu quasiment d’une traite, et que j’ai envie de recommander à tout le monde. Ce que je ne ferais pas, cette histoire pouvant être dure, cruelle, angoissante, même perturbante pour certains mais elle l’est pour la vérité de ce qui pourrait se passer. Et si…
Et si, demain, une terrible catastrophe arrivait, si les arbres, le bétail et une grande partie de la population mourraient, que se passerait-il dans les têtes des survivants ? Quelle morale peut-on garder après cela quand la seule qui compte encore c’est de survivre jusqu’au lendemain ?
Nous suivons donc un homme et son fils (leurs noms ne seront jamais dévoilés), l’homme lutte pour la survie de son fils qui passe par sa propre survie, son fils l’oblige à voir comment sa propre nature s’est changée, il n’y a plus de bonté, d’entraide en lui. Il en a trop vu, trop vécu. Mais le gamin reste bon et naïf et leur opposition n’est qu’en filigrane mais présente tout au long du livre.
Nous ne saurons pas grand-chose, quelques souvenirs chez l’homme pour nous indiquer « l’avant », mais cela suffit, il en faut peut pour comprendre (rien qu’allumer la télévision à l’heure des infos peut aider…)
L’homme et l’enfant marchent sur la route, ne dévient que rarement, avec pour seuls « compagnons » un caddy et un pistolet qui contient 2 cartouches…
Superbe histoire, dépouillée, efficace et avec une petite touche d’espoir malgré tout. Coup de cœur !
Je me demande si je suis la seule à avoir abandonné ce livre... :/
RépondreSupprimerC'est vrai que j'ai vu beaucoup d'éloges sur le net et dans la presse à propos de ce livre...Cela me rassure d'une certaine façon qu'il y ait quelques réactions négatives, mais bon, vraiment je confirme mon coup de coeur!! :)
RépondreSupprimerTrès très bon roman mais c'est sûr qu'il faut savoir garder le moral et avoir le courage d'aller jusqu'au bout. Voilà ce qui s'appelle littéralement un voyage au bout de la nuit
RépondreSupprimer