«Notre seule vraie famille est celle des livres. On y éprouve un sentiment de perméabilité avec celui qui raconte : il donne tant de force, tant de frissons.» (télérama 13.12.00)
Jean-Marie Gustave Le Clézio est un écrivain prolifique qui depuis son premier roman publié (et premier prix, le Renaudot) « Le procès-verbal » (1963) n’a pas cessé d’être apprécié. Il a écrit des romans, des nouvelles, des livres pour ados, des essais et fut « Nobélisé » en 2008 en tant qu’« écrivain de nouveaux départs[], de l’aventure poétique et de l’extase sensuelle, explorateur d’une humanité au-delà et en-dessous de la civilisation régnante ».
Je ne suis pas une « pro » de cet auteur et n’en ai lu que deux livres « Lullaby » dans mon enfance que j’ai lu plusieurs fois de suite, tellement happée par l’ambiance de ce livre, et « La quarantaine », ce qui me suffit à dire qu’il est un écrivain que j’aime. Il y a beaucoup à dire sur son œuvre et on peut trouver sur le net une infinité de thésaurisations, de péroraisons, mon ressenti est que Le Clézio est un poète qui manie autobiographie, voyage, goût pour le lointain, pour le rêve, l’introspection et une certaine révolte…
Je crois qu’il est également important de notifier que pour la première fois depuis fort fort longtemps nous avons un aristochat qui ne fait pas peur (Poe hem…), qui est même plutôt agréable à regarder (surtout un poil plus jeune mais enfin bon), du coup deux photos !!!
Romans, nouvelles, récits
Le Procès-verbal
Le Jour où Beaumont fit connaissance avec sa douleur (nouvelle)
La Fièvre (nouvelles)
Le Déluge
Terra Amata
Le Livre des fuites
La Guerre
Les Géants
Voyages de l'autre côté (nouvelles)
Mondo et autres histoires (contes)
Désert
La Ronde et autres faits-divers (nouvelles)
Le Chercheur d'or
Voyage à Rodrigues
Printemps et autres saisons
Onitsha
Étoile errante
Pawana
La Quarantaine
Poisson d'or
Hasard, suivi de Angoli Mala
Cœur brûle et autres romances (nouvelles)
Révolutions
L'Africain
Ourania
Ritournelle de la faim
Quelques essais
L'Extase matérielle
L'Inconnu sur la terre
Trois villes saintes
Le Rêve mexicain ou la pensée interrompue
Diego et Frida
Ailleurs, entretiens avec Jean-Louis Ezine
Livres pour la jeunesse
Lullaby
Voyage au pays des arbres, dessiné par Henri Galeron
Celui qui n'avait jamais vu la mer, suivi de La Montagne ou le dieu vivant
Villa Aurore, suivi de Orlamonde Balaabilou
La Grande Vie, suivi de Peuple du ciel
Notre premier Nobel ??? Je ne sais pas si tu voulais premier Nobel français, ou premier Nobel à être Aristochat... mais dans les deux cas, c'est inexact. Pour les Nobels français il y en a eu une bonne douzaine ; pour les Aristochats, on a eu Faulkner... :)
RépondreSupprimerPas assez poilu pour moi!
RépondreSupprimerBienvenue tout de même à ce nouvel aristochat...
Oups Thom, j'avais oublié Faulkner, je parlais bien de notre remier Nobel aristo ( parce que bon moi y en a pas être française donc... :D)
RépondreSupprimerPas assez poilu peut-être mais je préfère le rencontrer lui dans une ruelle obscure la nuit qu' Edgar... (a priori quand tu nous tiens... ;) )
Oui, vu sous cet angle...
RépondreSupprimerIngannmic
Largement! :)
RépondreSupprimerJ'ai hâte de découvrir ce nouvel Aristo!