Tentative d’humour anglais, par Lhisbei
Eric, 45 ans, est un anglais modèle, très modèle, voire stéréotypé. Marié, deux enfants, il est comptable dans une entreprise de meubles. Sa vie est tout sauf passionnante ou stimulante. Le soir des ses 45 ans il boit un verre au pub du coin avec des collègues, se regarde dans la glace et pan la mid-life crisis (crise de la quarantaine) lui tombe dessus. Il décide de réagir : il a besoin de vacances décide-t-il. Et hop direction le camping – caravaning de jeunesse pour passer 15 jours de vacances en famille. Son objectif : faire le point, apprendre à mieux connaître sa famille et resserrer les liens. Et pour que la thérapie fonctionne bien Eric décide de tenir un journal de vacances. Evidemment les vacances ne vont pas tout à fait se passer comme prévu : sa femme devient une femelle enragée avide de sexe, son fils choisit de retourner à la nature et sa fille a rencontré Dieu. Et ce n’est que le début…
Les péripéties s’enchaînent les unes aux autres sans temps morts et sont méticuleusement consignée par Eric. Au début c’est drôle. Une centaine de pages plus loin ça devient lassant et répétitif. L’ennui guette. L’auteur ajoute couche sur couche de cataclysmes délirants qui finissent par friser le ridicule. Comme un mille feuilles indigeste. Pour le New York Times, il s'agit de " la plus drôle des comédies noires ". Les critiques du Figaro invoquent l’humour des Monty Python mélangé au « Candide » de Voltaire. Le magazine Lire lui donne 3 étoiles sur 4 … J’ai maintenant une bonne raison de ne pas lire le NY Times ou le Figaro (pour ce dernier j’ai bien d’autres raisons encore) et je ne regrette pas d’avoir résilié mon abonnement à Lire… Quant aux Monty Python … laissez-moi rire. Si l’auteur avait terminé son livre par "C'est le livre le plus stupide que j'ai jamais écrit" et apposé le mot fin comme les Monty Python abandonnaient le plateau en disant "C'est le sketch le plus stupide que j'ai jamais vu", alors peut être qu’une parenté au 15eme degré aurait pu être établie… Ici, en plus, l’auteur nous gratifie de deux (mauvaises) fins …
Eric, 45 ans, est un anglais modèle, très modèle, voire stéréotypé. Marié, deux enfants, il est comptable dans une entreprise de meubles. Sa vie est tout sauf passionnante ou stimulante. Le soir des ses 45 ans il boit un verre au pub du coin avec des collègues, se regarde dans la glace et pan la mid-life crisis (crise de la quarantaine) lui tombe dessus. Il décide de réagir : il a besoin de vacances décide-t-il. Et hop direction le camping – caravaning de jeunesse pour passer 15 jours de vacances en famille. Son objectif : faire le point, apprendre à mieux connaître sa famille et resserrer les liens. Et pour que la thérapie fonctionne bien Eric décide de tenir un journal de vacances. Evidemment les vacances ne vont pas tout à fait se passer comme prévu : sa femme devient une femelle enragée avide de sexe, son fils choisit de retourner à la nature et sa fille a rencontré Dieu. Et ce n’est que le début…
Les péripéties s’enchaînent les unes aux autres sans temps morts et sont méticuleusement consignée par Eric. Au début c’est drôle. Une centaine de pages plus loin ça devient lassant et répétitif. L’ennui guette. L’auteur ajoute couche sur couche de cataclysmes délirants qui finissent par friser le ridicule. Comme un mille feuilles indigeste. Pour le New York Times, il s'agit de " la plus drôle des comédies noires ". Les critiques du Figaro invoquent l’humour des Monty Python mélangé au « Candide » de Voltaire. Le magazine Lire lui donne 3 étoiles sur 4 … J’ai maintenant une bonne raison de ne pas lire le NY Times ou le Figaro (pour ce dernier j’ai bien d’autres raisons encore) et je ne regrette pas d’avoir résilié mon abonnement à Lire… Quant aux Monty Python … laissez-moi rire. Si l’auteur avait terminé son livre par "C'est le livre le plus stupide que j'ai jamais écrit" et apposé le mot fin comme les Monty Python abandonnaient le plateau en disant "C'est le sketch le plus stupide que j'ai jamais vu", alors peut être qu’une parenté au 15eme degré aurait pu être établie… Ici, en plus, l’auteur nous gratifie de deux (mauvaises) fins …
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