Je suis dans le noir, par Sandriine
Chroniques du communisme d’après la guerre, de l’amour, des silences, de la foi, de la recherche de soi surtout, qui tourne autour d’un événement : la rencontre de June avec les Chiens noirs.
Mais où veut en venir McEwan, c’est toujours la même question que je me pose dès que je finis un de ses livres, que veut-il nous dire ? Nous démontrer ? Ici, nous commençons avec un jeune homme orphelin, à la recherche de parents (ceux de ses amis, eux en rébellion totale) ; puis l’auteur nous présente June, vieille femme, quelque peu exaspérante et pas mal égoïste ; nous avons droit après cela à la présentation de Bernard, avec pour toile de fond la chute du mur de Berlin et enfin la fameuse histoire des chiens noirs (clé ? de la fin de l’histoire entre June et Bernard qui en gros s’aiment mais ne se supportent pas).
Et voilà, c’est tout…Et quoi ? Aucune histoire réellement, trop de rien, trop de non-dit… C’est bien les non-dits mais trop …cela ne dit plus rien du tout !!
Si quelqu’un pouvait éclairer ma lanterne sur Mr McEwan, sur ce qu’il essaye de nous dire, assez vainement dans mon cas, ce serait fort aimable. Parce que l’écriture me plait, l’idée de base me plait mais j’ai besoin d’un aboutissement, ou alors un plus clair… Ce n’est pas un coup de griffe car il y a quelque chose qui se passe avec cet auteur mais je dois admettre que je ne le lis que pour l’aristochat, pour moi, je l’aurais déjà abandonné (et pourtant je me souviens avoir aimé « Expiation »…)
Le narrateur de cette histoire désire écrire une chronique familiale, pas la sienne, ses parents étant morts lorsqu’il était très jeune mais celle des parents de sa femme June et Bernard.
Chroniques du communisme d’après la guerre, de l’amour, des silences, de la foi, de la recherche de soi surtout, qui tourne autour d’un événement : la rencontre de June avec les Chiens noirs.
Mais où veut en venir McEwan, c’est toujours la même question que je me pose dès que je finis un de ses livres, que veut-il nous dire ? Nous démontrer ? Ici, nous commençons avec un jeune homme orphelin, à la recherche de parents (ceux de ses amis, eux en rébellion totale) ; puis l’auteur nous présente June, vieille femme, quelque peu exaspérante et pas mal égoïste ; nous avons droit après cela à la présentation de Bernard, avec pour toile de fond la chute du mur de Berlin et enfin la fameuse histoire des chiens noirs (clé ? de la fin de l’histoire entre June et Bernard qui en gros s’aiment mais ne se supportent pas).
Et voilà, c’est tout…Et quoi ? Aucune histoire réellement, trop de rien, trop de non-dit… C’est bien les non-dits mais trop …cela ne dit plus rien du tout !!
Si quelqu’un pouvait éclairer ma lanterne sur Mr McEwan, sur ce qu’il essaye de nous dire, assez vainement dans mon cas, ce serait fort aimable. Parce que l’écriture me plait, l’idée de base me plait mais j’ai besoin d’un aboutissement, ou alors un plus clair… Ce n’est pas un coup de griffe car il y a quelque chose qui se passe avec cet auteur mais je dois admettre que je ne le lis que pour l’aristochat, pour moi, je l’aurais déjà abandonné (et pourtant je me souviens avoir aimé « Expiation »…)
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