Il se passe quelque chose... , par Mbu
Mr. Blank se réveille dans une chambre. Il est âgé. Ne se souvient de rien mais ressent un grand sentiment de culpabilité. Sur un bureau, des manuscrits qui, lorsqu’il s’en approche, provoquent en lui un profond malaise. Une fenêtre condamnée. Une porte qu’il n’est pas sûr d’être verrouillée. Et des personnages qui entrent, lui parlent de missions, de sa responsabilité, lui font prendre des pilules, cherchent à lui soutirer des informations et surtout, écrivent sur les pages blanches (Blank) de sa mémoire.
Qui sont-ils, que s’est-il passé, qui est-il lui-même, voilà des questions auxquelles il va tenter de répondre. Mais surtout, qu’est-ce qui est vrai ? Qu’est-ce qui est réel ? On va même jusqu’à interroger notre propre existence lorsque le sujet de la narration change.
C’est un sujet difficile à décrire et je n’ai pas le talent de l’aborder vraiment. Surtout, je viens de le finir et il est un peu trop frais. J’ai aimé ce texte et la façon d’aborder ces questions. Je le mettrai dans la même catégorie que Le sein, de Philip Roth. Ces questions, le style du roman étant évidents dés le départ, je n’y ai en revanche pas trouvé l’espace de réflexion, ce silence qui vous prend lorsque vous tournez la dernière page. Quelque chose manque. Je ne saurais dire quoi.
Je retiens néanmoins que je l’avais sur moi lorsque nous avons dû passer la nuit dehors à cause du tremblement de terre. Ne pouvant pas dormir, je lisais. Et le thème rejoignait ce qu’on vivait : il se passe quelque chose, il s’est passé quelque chose, mais on est pas sûr de quoi. Ou plutôt si, mais c’est abstrait. On est pas sûr de comment se sentir, tout semble irréel. Etrange. Bref, le parallèle est peut-être mauvais, mais le malaise était bien réel. Ca a duré l’espace d’une nuit et j’ai terminé la lecture avec beaucoup de détachement, déçue de ne pas avoir plus de matière à réflexion, dans ce texte qui m’a finalement paru trop évident.
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Mr. Blank se réveille dans une chambre. Il est âgé. Ne se souvient de rien mais ressent un grand sentiment de culpabilité. Sur un bureau, des manuscrits qui, lorsqu’il s’en approche, provoquent en lui un profond malaise. Une fenêtre condamnée. Une porte qu’il n’est pas sûr d’être verrouillée. Et des personnages qui entrent, lui parlent de missions, de sa responsabilité, lui font prendre des pilules, cherchent à lui soutirer des informations et surtout, écrivent sur les pages blanches (Blank) de sa mémoire.
Qui sont-ils, que s’est-il passé, qui est-il lui-même, voilà des questions auxquelles il va tenter de répondre. Mais surtout, qu’est-ce qui est vrai ? Qu’est-ce qui est réel ? On va même jusqu’à interroger notre propre existence lorsque le sujet de la narration change.
C’est un sujet difficile à décrire et je n’ai pas le talent de l’aborder vraiment. Surtout, je viens de le finir et il est un peu trop frais. J’ai aimé ce texte et la façon d’aborder ces questions. Je le mettrai dans la même catégorie que Le sein, de Philip Roth. Ces questions, le style du roman étant évidents dés le départ, je n’y ai en revanche pas trouvé l’espace de réflexion, ce silence qui vous prend lorsque vous tournez la dernière page. Quelque chose manque. Je ne saurais dire quoi.
Je retiens néanmoins que je l’avais sur moi lorsque nous avons dû passer la nuit dehors à cause du tremblement de terre. Ne pouvant pas dormir, je lisais. Et le thème rejoignait ce qu’on vivait : il se passe quelque chose, il s’est passé quelque chose, mais on est pas sûr de quoi. Ou plutôt si, mais c’est abstrait. On est pas sûr de comment se sentir, tout semble irréel. Etrange. Bref, le parallèle est peut-être mauvais, mais le malaise était bien réel. Ca a duré l’espace d’une nuit et j’ai terminé la lecture avec beaucoup de détachement, déçue de ne pas avoir plus de matière à réflexion, dans ce texte qui m’a finalement paru trop évident.
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Encore un livre pour ma LAL. :)
RépondreSupprimerJe l'ai lu aussi :
RépondreSupprimerhttp://l115thdream.canalblog.com/archives/2008/02/20/8012426.html
Euh...moi je l'avais trouvé hyper chiant, pour tout dire :-/
RépondreSupprimertu na sans doute pas compris cse livre pour le trouver chiant
RépondreSupprimerO oui ! c surment ca!
RépondreSupprimer;-)
(Quelle insolence!)
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