Je commence à cerner ce qui me plaît et déplaît chez Poe. Il a ce talent pour plonger le lecteur dans une dimension étrange et fantastique. Je m’en suis rendu compte au fil de ma lecture, j’avais envie de prendre le livre et de voir ou sa nouvelle histoire allait m’emmener…
Mais il y a les descriptions, longues, trop longues, semblant sans fin pour le lecteur.
Cela peut passer quand l’histoire tient la route comme dans «Le joueur d’échec de Maelzel » où Poe nous livre ces constatations, c’est long, descriptif mais intéressant !
Dans ce volume, il y a trois nouvelles qui ne sont que descriptions ! Le lecteur s’y engage confiant, puis se dit que quelque chose va se passer après cet interminable discours. Il attend plein d’espoir une chute…puis si, comme moi, il craque, il s’apercevra en tournant les pages que chute ou histoire il n’y a point ! « Le domaine d’Arnheim », « Le cottage Landor » et « La philosophie de l’ameublement » sont des pures descriptions, mais tellement longues et tatillonnes qu’aucunes de ces descriptions ne s’impriment dans mon imagination (pourtant fertile).
Poe, dans quelques nouvelles, se moque d’auteurs soporifiques …Et c’est cela qui me déplait le plus, cette estime qu’il semble avoir de lui-même. Son talent est indéniable bien sûr mais il lui arrive d’être soporifique lui aussi ! Cela lui passe au-dessus de la tête !
Dans « La genèse d’un poème », il y a ce poème « Le Corbeau », magnifique et le déroulement de sa création par l’auteur. Et là Poe se gargarise le bec de son talent, de son originalité d’une telle manière, que le dernier mot lu, exaspérée, j’ai fermé ce livre avec une violence rare et l’ai posé loin de moi le temps de pouvoir y penser plus calmement.
Evidemment une telle réaction n’est pas totalement négative, cela veut vraiment dire qu’il se passe quelque chose avec l’auteur mais jusqu’ici, je me rends compte que si je ne l’avais pas lu, je ne m’en porterais pas moins bien…
Mais il y a les descriptions, longues, trop longues, semblant sans fin pour le lecteur.
Cela peut passer quand l’histoire tient la route comme dans «Le joueur d’échec de Maelzel » où Poe nous livre ces constatations, c’est long, descriptif mais intéressant !
Dans ce volume, il y a trois nouvelles qui ne sont que descriptions ! Le lecteur s’y engage confiant, puis se dit que quelque chose va se passer après cet interminable discours. Il attend plein d’espoir une chute…puis si, comme moi, il craque, il s’apercevra en tournant les pages que chute ou histoire il n’y a point ! « Le domaine d’Arnheim », « Le cottage Landor » et « La philosophie de l’ameublement » sont des pures descriptions, mais tellement longues et tatillonnes qu’aucunes de ces descriptions ne s’impriment dans mon imagination (pourtant fertile).
Poe, dans quelques nouvelles, se moque d’auteurs soporifiques …Et c’est cela qui me déplait le plus, cette estime qu’il semble avoir de lui-même. Son talent est indéniable bien sûr mais il lui arrive d’être soporifique lui aussi ! Cela lui passe au-dessus de la tête !
Dans « La genèse d’un poème », il y a ce poème « Le Corbeau », magnifique et le déroulement de sa création par l’auteur. Et là Poe se gargarise le bec de son talent, de son originalité d’une telle manière, que le dernier mot lu, exaspérée, j’ai fermé ce livre avec une violence rare et l’ai posé loin de moi le temps de pouvoir y penser plus calmement.
Evidemment une telle réaction n’est pas totalement négative, cela veut vraiment dire qu’il se passe quelque chose avec l’auteur mais jusqu’ici, je me rends compte que si je ne l’avais pas lu, je ne m’en porterais pas moins bien…
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