Amour fou, par Ingannmic.
Norbert, le narrateur, retrouve par hasard l'un de ses vieux camarades, John Mac Corjeag, qui une dizaine d'années auparavant, fut interné à la suite d'une crise de démence. A sa demande, John lui raconte dans quelles circonstances il en est venu à perdre la raison...
"La boîte en os" est l'histoire de la quête de l'amour absolu par un homme qui ne peut accepter que le corps et l'esprit soient des obstacles à l'osmose de deux êtres qui s'aiment. Un homme pour qui "ne faire qu'un" avec l'élue de son cœur ne doit pas se borner à une simple expression... de quoi, effectivement, devenir fou, surtout lorsque vous luttez contre Dieu lui-même, cet être maléfique qui détient l'inacceptable pouvoir de vous priver, à tout moment, de votre aimée.
D'une écriture élégante et dénuée de toute superfluité, Antoinette Peské flirte avec le fantastique et nous plonge dans une atmosphère lugubre avec un talent qui n'est pas sans évoquer certaines nouvelles de Poe.
Un récit troublant et vertigineux, dont la dernière phrase mériterait à elle toute seule qu'on le lise jusqu'à la fin, si l'ensemble de ce roman n'était pas déjà plus que prenant!
Norbert, le narrateur, retrouve par hasard l'un de ses vieux camarades, John Mac Corjeag, qui une dizaine d'années auparavant, fut interné à la suite d'une crise de démence. A sa demande, John lui raconte dans quelles circonstances il en est venu à perdre la raison...
"La boîte en os" est l'histoire de la quête de l'amour absolu par un homme qui ne peut accepter que le corps et l'esprit soient des obstacles à l'osmose de deux êtres qui s'aiment. Un homme pour qui "ne faire qu'un" avec l'élue de son cœur ne doit pas se borner à une simple expression... de quoi, effectivement, devenir fou, surtout lorsque vous luttez contre Dieu lui-même, cet être maléfique qui détient l'inacceptable pouvoir de vous priver, à tout moment, de votre aimée.
D'une écriture élégante et dénuée de toute superfluité, Antoinette Peské flirte avec le fantastique et nous plonge dans une atmosphère lugubre avec un talent qui n'est pas sans évoquer certaines nouvelles de Poe.
Un récit troublant et vertigineux, dont la dernière phrase mériterait à elle toute seule qu'on le lise jusqu'à la fin, si l'ensemble de ce roman n'était pas déjà plus que prenant!
je suis ravie que ce roman vous ait plu. Peské est un peu tombée dans l'oubli et c'est bien dommage.
RépondreSupprimerC'est vrai que ce roman est vraiment à découvrir. D'après ce que j'ai pu lire par ailleurs, elle n'a publié que celui-ci, et "Ici le chemin se perd", écrit en collaboration avec son mari.
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