It's a long long way... par Sandrounette
Daniel Quinn, auteur de romans policiers est dérangé en pleine nuit par des coups de fils mystérieux. Quelqu'un cherche un certain Paul Auster... Intrigué par ces appels il décide de se faire passer pour Paul Auster et d'aller au rendez-vous donné.
C'est alors que l'on apprend l'affaire. Peter Stillman veut se faire protéger de son père, Peter Stillman senior, qui l'a séquestré pendant neuf ans lorsqu'il était enfant.
Daniel Quinn, alias Paul Auster, prend en filature ce Peter Stillman et s'en suit un enchaînement de petits riens. Quinn note tout sur un cahier rouge pendant des mois.
Ce petit roman est la première partie de la Trilogie New-yorkaise de Paul Auster (le vrai!). Il s'est régalé à mélanger toutes les identités: Daniel Quinn prend pour pseudonyme William Wilson pour écrire ses romans, se prend pour Paul Auster et finalement, on apprend que le narrateur n'est pas forcément celui que l'on croit...
De nombreuses surprises sont présentes dans ce roman et j'ai vraiment été prise au piège de la narration et des déambulations des personnages.
Vivement la suite!
Daniel Quinn, auteur de romans policiers est dérangé en pleine nuit par des coups de fils mystérieux. Quelqu'un cherche un certain Paul Auster... Intrigué par ces appels il décide de se faire passer pour Paul Auster et d'aller au rendez-vous donné.
C'est alors que l'on apprend l'affaire. Peter Stillman veut se faire protéger de son père, Peter Stillman senior, qui l'a séquestré pendant neuf ans lorsqu'il était enfant.
Daniel Quinn, alias Paul Auster, prend en filature ce Peter Stillman et s'en suit un enchaînement de petits riens. Quinn note tout sur un cahier rouge pendant des mois.
Ce petit roman est la première partie de la Trilogie New-yorkaise de Paul Auster (le vrai!). Il s'est régalé à mélanger toutes les identités: Daniel Quinn prend pour pseudonyme William Wilson pour écrire ses romans, se prend pour Paul Auster et finalement, on apprend que le narrateur n'est pas forcément celui que l'on croit...
De nombreuses surprises sont présentes dans ce roman et j'ai vraiment été prise au piège de la narration et des déambulations des personnages.
Vivement la suite!
Je l'ai lu il y a longtemps, mais je m'en souviens assez bien, car je l'avais trouvé très singulier. J'avais lu le 2ème, que j'ai un peu moins aimé, et le dernier "La chambre dérobée", est toujours sur ma PAL.
RépondreSupprimerJe n'ai pas du tout accroché à ce texte, qui m'a semblé assez glauque. Mais il faut dire que je ne suis pas un grand fan de Paul Auster...
RépondreSupprimerAutant je n'accroche que très moyennement aux autres Paul Auster (lus après celui-ci), autant je trouve Cité de Verre fascinant. La construction est d'une richesse incroyable - question quête d'identité et mises en abyme, on est servis - et je trouve le style d'Auster très poétique par moments. A l'époque, je l'ai même fait étudier à mes élèves de 1ère (un peu pour me faire plaisir, je l'avoue, tellement j'avais envie de le disséquer !) et ça a été un franc succès.
RépondreSupprimerCité de verre est un livre fascinant et très poétique . je prend toujours du plaisir à dévorer chacun de ses livres et ils sont tous de vrai machines littéraires . Ce qui frappe dans ce livre, c’est le thème de l’identité .
RépondreSupprimerMais Cité de verre, c’est aussi une réflexion constante avec les personnages, un jeu de miroir continuel dans lequel les personnages et le lecteur se perdent. Par une subtile mise en abyme, Paul Auster sème la confusion, les personnages de l’histoire se reflètent tous les uns les autres.